Visée par les critiques après avoir révélé sa relation avec Charb, Jeannette Bougrab revient sur cette histoire dans un livre intitulé ’Maudites’, et dans les colonnes du magazine ’Paris Match’.
’Il est arrivé dans ma vie à un moment très douloureux, quand on a diagnostiqué chez ma mère Zohra, un cancer du pancréas’ se souvient l’ex secrétaire d’État.
Durant cette épreuve, l’ex patron du Charlie Hebdo a été une épaule, un soutien sans faille.
’Il m’a accompagnée à l’hôpital’, se rappelle-t-elle. Charb dînait et dormait aussi à la maison’.
’Il avait une relation quasi paternelle avec ma petite May, qu’il emmenait à l’école. Elle l’appelait papa ou tonton’, assure celle qui devrait s’installer dans quelques mois en Finlande.
Charb faisait promener sa fille ’à poney au Luxembourg le week-end’ et qu’il lui apprenait également ’à monter sur son petit vélo’.
’Il adorait May’, assure Jeannette Bougrab, qui n’a jamais envisagé d’unir sa destinée à celle de son compagnon. ’Nous en avions tous les deux une peur bleue : le symbole de la corde au cou, très peu pour nous’, explique-t-elle. Et d’ajouter : ’Stéphane, comme moi, revendiquions un célibat total. Pour vivre heureux, vivons cachés, était notre leitmotiv’.
L’ex chroniqueuse du ’Grand Journal’ admet qu’elle aurait pu être trompée par son homme.
’Il m’a peut-être trompée. Je n’en sais rien. Mais tout cela ne regarde que lui est moi", conclut-elle.
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