Révélée au grand public grâce à la comédie musicale Notre Dame de Paris, Julie Zenatti avait un moment disparu des radars.
De cette période très particulière, la chanteuse en parle dans les colonnes du magazine ’ Top 28’, dans le cadre de la promotion de son dernier opus ’Blanc’.
’Je n’avais plus de maison de disques, confie-t-elle au magazine Top 28, mais j’avais toujours l’envie de faire des chansons. Pendant quatre ans, je me suis entourée d’auteurs et de compositeurs, et ensemble, nous avons crée. Sans but. Puis un jour, je me suis rendue compte que toutes ces chansons racontaient une histoire : ma vie d’aujourd’hui’, dit-elle, avant de confier avoir été victime d’un AVC en juillet 2010. Et elle avait par ailleurs été en proie au burn-out.
’J’étais à bout, se souvient-elle. Depuis mes 17 ans, toutes mes pensées étaient tournées vers la musique. C’est un métier où l’on est jamais rassasié. Je rentrais chez moi le soir mais je ne pensais qu’à monter sur scène (…) Tout me paraissait fade à côté ».
Si Julie Zenatti s’est remise d’aplomb, c’est grâce à Ava, sa fille.
’Elle m’a aidée à aimer les vacances par exemple, confie la chanteuse. Avant, elles ne devaient pas durer trop longtemps ».
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