Julien Clerc et la famille de Gérard Leclerc sont confrontés à une attente prolongée. L’enquête sur le tragique crash qui a emporté Gérard Leclerc pourrait s’étendre sur une période de deux ans.
Julien Clerc était invité le 17 janvier de Marc-Olivier Fogiel dans « Le Divan », sur France 3.
Pour l’occasion, le chanteur est revenu non seulement sur sa carrière, et évoqué les femmes de sa vie, mais il a aussi parlé de son expérience de la drogue.
« J’ai eu de la chance parce que j’ai un corps qui n’aime pas trop les excès. J’en ai tenté deux ou trois et ça ne m’a pas beaucoup intéressé. Quand je fumais des pétards, au bout d’un moment, j’avais la tête qui tournait, j’étais obligé de m’allonger par terre, je me trouvais minable, confie Julien Clerc. Je n’y prenais pas véritablement de plaisir. Après j’ai un peu essayé la cocaïne mais c’est pareil. Les effets secondaires ne me plaisaient pas donc j’ai arrêté tout naturellement ».
« Je pense que le problème des gens qui deviennent accro à quelque chose... On parle toujours du mal-être mais ce n’est pas ça l’important ! L’important c’est le plaisir que ça procure ! Malheureusement il y a des gens à qui ça procure un plaisir fou », explique Julien Clerc qui avait déjà évoqué ses expériences de la drogue dans les colonnes de VSD.
« J’avais terminé allongé dans l’herbe, avec l’impression que je mourais. Quant à la coke, c’était encore avant. Mais ça me faisait mal au nez, ça me coulait dans la gorge, c’est très mauvais pour un chanteur. Je suis passé au travers de tout ça sans trop me bousiller les cordes vocales. Mais cette époque de déconne est celle où j’ai chanté le moins bien », disait-il.
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