La polémique entre Yann Barthès et Quentin Bataillon, président de la commission TNT, s’est intensifiée suite à la récente apparition de ce dernier dans l’émission de Cyril Hanouna.
Léa Salamé a profité du passage de Laurence Haïm ? dans ’On n’est pas couché’ pour évoquer une petite brouille qui remonte à 2011 alors que la complice d’Aymeric Caron venait de débarquer sur i-Télé.
’Moi je débarque à i-Télé en 2011 et on me dit : « Tu prends Laurence Haïm ?! » Comme à chaque fois, il faut improviser, etc. Je pose une ou deux questions à Laurence Haïm qui ne lui plaisent pas. Et là… elle m’insulte ?! Sauf que moi, j’entends pas ?! C’est l’ingé-son qui vient me dire : « Dis donc, elle t’as cassée ?!’, se rappelle la chroniqueuse de On n’est pas couché’, avant d’en rajouter une couche.
’Parce que Laurence pense qu’à Paris, quand on est présentatrice de JT, elle pense qu’on est forcément des lectrices de prompteurs, qu’on est un peu débile, etc’, glisse-t-elle.
’Du coup, je lui ai écris. Je lui ai envoyé un mail. Ce qu’on faisait pas parce que les gens flippaient littéralement de Laurence Haïm. Mais quand l’ingé-son m’a dit ça, je lui ai envoyé un mail un peu sec’.
Laurence Haïm revient également sur cet épisode. ’Je t’ai pas cassée’, lance-t-elle tout d’abord à sa collègue. ’Quand on est journaliste, y’a deux versions. Moi je vais faire ma version. (…) Je suis en direct, à New York, sur une histoire qui me tenait vraiment à cœur. Et j’avais vraiment envie de raconter cette histoire, de la faire vivre, etc. (…) Léa me pose des questions. Je suis très énervée parce que moi, j’avais vraiment envie de faire vivre au mieux le truc, etc. Et effectivement, c’est la fin du duplex et tout. Et le micro reste ouvert et je dis : Mais c’est quoi cette pé**** ???! Cette bimbo ??! J’en ai ras le bol ?! ».
’Et donc Léa, de manière très courageuse et très bien, m’envoie un email qui m’a beaucoup marquée en me disant : Voilà, je suis très sensible. On peut respecter les gens. Qu’est-ce qui se passe ?? Voilà. Je m’applique beaucoup, je travaille. » Et j’étais très malheureuse d’avoir eu ce mot.
Et ça a duré pendant pas mal de temps. Et quand tu es arrivée ici, je t’ai envoyé un email en disant : Voilà. Tu défend quelque chose qui est important pour moi en tant que femme journaliste, qui est basé peut-être sur la rigueur, le sérieux, autre chose… » Et elle m’a renvoyée un email très drôle en me disant : « Merci beaucoup, ça me touche. Ta Bimbo préférée », a-t-elle précisé.
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