Une quinzaine de jours après la disparition de Christophe Dominici des suites d’une chute d’une quinzaine de mètres d’un bâtiment désaffecté, sa veuve Loretta Denaro et les membres de la famille sont enfin fixés. Les analyses toxicologiques ont précisé les causes de son décès.
Lors d’un entretien accordé à Paris Match, la veuve du regretté champion a mis en doute la pistes du suicide.
"L’échec du projet de relance de Béziers l’a détruit. Vous savez, Christophe, c’est un homme qui a beaucoup été aimé », a-t-elle indiqué.
Christophe Dominici se sentait abandonné et isolé.
Pour autant, elle n’accordait aucun crédit à cette piste de suicide.
"Ce n’est pas possible, il avait trop de vie en lui pour faire ça, non, c’est impossible ! Je pense que ce n’était pas lui, a-t-elle martelé. Ce n’était pas lui. Tout allait bien. Les travaux de notre maison en construction à Sèvres avançaient, on avait plein de projets, les filles allaient bien. C’est impensable ! Impensable. ».
D’après l’Equipe, il a été victime d’une victime de bouffée délirante.
Le quotidien sur les analyses toxicologiques pratiquées sur le corps du défunt.
« Aucune trace de stupéfiants, ni d’alcool, ni de médicaments en dose élevée n’a été relevée dans son sang, a révélé une source. Des traces de médicaments, mais en concentration peu élevée, ont été retrouvées ».
Quelques jours avant le drame, Christophe Dominici avait été victime d’une « bouffée délirante » a confié un proche.
« Il se disait notamment poursuivi par des hommes en uniforme et armés, qu’il assimilait à des policiers d’une brigade anticriminalité ou des gendarmes de l’unité d’élite du GIGN ».
Ces articles devraient vous intéresser :