Louis Sarkozy, le fils de l’ancien président Nicolas Sarkozy, mène un train de vie luxueux à Washington. Des détails sont donnés par le magazine Public, qui s’interroge sur l’origine de sa fortune.
Louis Sarkozy s’est livré lors d’une interview exclusive accordée à « Paris Match », où il a accepté pour la première fois de parler de ses convictions politiques, sa vie dans les coulisses du pouvoir, ainsi que sa formation militaire aux États-Unis.
« Je n’ai jamais vécu à l’Elysée, j’y allais en vacances, parce que j’habitais aux Etats-Unis surtout. Quand mon père a été élu président, je suis parti trois mois après » dit-il.
« J’étais plus jeune. C’est un peu un rêve surtout pour un enfant. (...) Depuis que je suis petit, j’ai toujours été ami avec tout le personnel. J’ai toujours dit que j’avais 40 papas, parce que tous les officiers de sécurité, les chefs, les maîtres d’hôtel, les hôtesses m’ont tous élevé. Ils m’emmenaient en vacances, en week-end avec leur famille (...) Dès que je venais à l’Elysée, Geoffrey [son ami d’enfance] venait avec moi. Car je me sentais un peu seul quand mon papa était occupé. (...) Mon meilleur souvenir à l’Elysée, c’était avec mon ami Geoffrey. Comme j’avais souvent le décalage horaire, souvent au milieu de la nuit, vers 2h, 3h du matin, on s’habillait en militaires et on faisait des excursions dans les jardins ».
Louis Sarkozy évoque ensuite sa formation militaire, avouant ne pas être opposé à l’idée de s’engager dans l’armée américaine.
« Je suis dans une université pas du tout militaire [NYU]. J’étais censé être dans une académie navale américaine. Mais après quatre ans, j’ai décidé que je voulais faire une pause », tient-il à préciser. « Si je rejoins l’armée, ce sera l’armée américaine. (...) J’ai eu la chance de déménager aux Etats-Unis avec ma mère. J’ai découvert les valeurs des Etats-Unis. Et là, je me marie très bien avec elles. J’ai été exposé aux valeurs américaines et c’est un pays que j’aime énormément ».
« Par exemple, aux Etats-Unis, si dans un café, il y a un soldat qui entre, tout le monde se lève. Et tout le monde applaudit. Tout le monde lui paie son café. Ah non en France, ce n’est pas comme ça. Ça m’a vraiment attiré, ce côté héros », a-t-il indiqué.
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