La tension monte entre Maximilien et Estelle. Quelques jours avant le bilan final avec les experts, Estelle a passé le week-end chez son mari. Durant sa visite, Maximilien a voulu lui faire découvrir la salle de sport où il exerce. Cependant, il ne s’attendait pas à être la cible des petites taquineries de sa femme. Il l’a mal pris.
En effet, Estelle l’a défié en lui demandant d’utiliser une machine et de soulever 45 kilos de poids. Une proposition à laquelle le coach sportif a rapidement refusé de se prêter. Son refus a suscité quelques réactions de sa femme.
« Mais tu es fou ! Je ne veux pas me déchirer les bras. C’est comme si je te donnais des haltères de 50 kilos et te demandais de faire des squats », a-t-il lâché, tandis que sa femme éclatait de rire. Leur mariage est désormais en péril.
Cependant, Maximilien n’a pas pris la plaisanterie à la légère. Il s’est senti dévalorisé.
« Je suis d’accord pour rire, pour qu’on me taquine, mais il y a des limites à ne pas dépasser", a-t-il exprimé avec agacement. Face au refus de son mari, Estelle a répliqué : "Oh, mais tu ne sais pas ? Cela signifie que tu sais les utiliser mais que tu ne peux pas soulever de poids. J’essaie de comprendre...", lui lançant cette remarque. Une remarque qui a froissé Maximilien. Vexé, il a alors perdu patience et a décidé de quitter la salle de sport.
« Pour elle, ce n’est rien, mais pour moi, elle attaque ma profession. Cela me blesse", a-t-il confié. Il a ajouté : "Je me sens agressé, je ne me sens pas respecté. Clairement, c’est une situation que je ne peux pas gérer". Une fois à l’extérieur, la tension a rapidement monté entre les jeunes mariés. Maximilien a tenté d’expliquer à Estelle qu’il se sentait "dénigré".
Finalement, Estelle a envisagé de rentrer chez elle, à Alès. Une décision qui n’a pas été bien accueillie par Maximilien pour l’avenir de leur relation. "C’est sa façon de répondre. Pour moi, c’est clair dans ma tête. C’est la fin de l’expérience, la fin de notre histoire, la fin de notre mariage", a-t-il assuré. Il a conclu d’un ton ferme : "Si elle prend cette décision », « c’est un point de non-retour ».