Michel Drucker a versé quelques larmes lorsqu’il a aperçu sa femme Dany Saval la veille de la table de l’opération cardiaque qui a failli lui coûter la vie. Il n’avait pu se retenir.
« Je fonds en larmes. Je n’avais pas pleuré de cette façon depuis dix-huit ans et la mort de mon frère Jean, le grand drame de ma vie », se rappelle l’animateur de Vivement Dimanche, qui revient sur cette pénible épreuve lors d’un entretien accordé à « Paris Match ». Il demeure traumatisé.
Mais il a tout fait pour cacher ses pleurs sous le masque pour protéger Dany, qu’elle ne s’effondre pas ».
Mais au moment, où il s’effondre, il a pensé à l’éventualité qu’il ne reverrait plus la femme qui a partagé sa vie depuis cinquante ans.
Sans elle, il n’aurait jamais réussi comme il l’a fait. « J’ai construit une famille qui a duré dans le temps. Oui, il valait mieux que j’y passe plutôt que ma famille, mon pilier, Stéfanie, notre fille, et Rebecca, notre petite-fille, me voient comme un légume », glisse—il.
Et il est une chose qu’il craint le plus, ce n’est pas de mourir, « j’ai vécu la peur d’être un mort-vivant ».
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