Nicolas Bedos en pleine polémique - ce clin d’oeil à Doria Tillier (photo)
Engagée dans une relation avec Pauline comme le révélait le magazine Public, Nicolas Bedos n’a pas pour autant oublier son Doria Tillier.
Il lui a adressé un petit message sur sur Instagram. Une photo sur laquelle on les découvre ensemble a été diffusée.
Mais s’il fait parler de lui, ce n’est pas ce message adressé à son ex mais pour son coup de gueule contre les autorités sur la gestion du coronavirus.
"Arrêtez tout. TOUT. Les masques. Les confinements. Excepté face à vos parents très fragiles (quand ils le souhaitent, ce qui n’était pas le cas de mon père, meurtri à mort d’être privé de notre amour)", a lancé Nicolas Bedos dont la nouvelle campagne travaillerait dans « une entreprise parisienne spécialisée dans les objets d’art et de collection ».
"Vivez à fond, tombez malades, allez au restaurant, engueulez les flicaillons, contredisez vos patrons et les lâches directives gouvernementales. Nous devons désormais vivre, quitte à mourir (nos aînés ont besoin de notre tendresse davantage que de nos précautions)", a poursuivi Nicolas Bedos.
"On arrête d’arrêter. On vit. On aime. On a de la fièvre. On avance. On se retire de la zone grise. Ce n’est pas la couleur de nos cœurs".
"Ce texte sera couvert d’affronts mais peu m’importe : mes aînés vous le diront : vivons à fond, embrassons-nous, crevons, ayons de la fièvre, toussons, récupérons, la vie est une parenthèse trop courte pour se goûter à reculons", a c
ns une relation avec Pauline comme le révélait le magazine Public, Nicolas Bedos n’a pas pour autant oublier son Doria Tillier.
Il lui a adressé un petit message sur sur Instagram. Une photo sur laquelle on les découvre ensemble a été diffusée.
Mais s’il fait parler de lui, ce n’est pas ce message adressé à son ex mais pour son coup de gueule contre les autorités sur la gestion du coronavirus.
"Arrêtez tout. TOUT. Les masques. Les confinements. Excepté face à vos parents très fragiles (quand ils le souhaitent, ce qui n’était pas le cas de mon père, meurtri à mort d’être privé de notre amour)", a lancé Nicolas Bedos dont la nouvelle campagne travaillerait dans « une entreprise parisienne spécialisée dans les objets d’art et de collection ».
"Vivez à fond, tombez malades, allez au restaurant, engueulez les flicaillons, contredisez vos patrons et les lâches directives gouvernementales. Nous devons désormais vivre, quitte à mourir (nos aînés ont besoin de notre tendresse davantage que de nos précautions)", a poursuivi Nicolas Bedos.
"On arrête d’arrêter. On vit. On aime. On a de la fièvre. On avance. On se retire de la zone grise. Ce n’est pas la couleur de nos cœurs".
"Ce texte sera couvert d’affronts mais peu m’importe : mes aînés vous le diront : vivons à fond, embrassons-nous, crevons, ayons de la fièvre, toussons, récupérons, la vie est une parenthèse trop courte pour se goûter à reculons", a c
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