Nikos Aliagas et sa compagne Tina Grigoriou apparaissent en Une de « Ici Paris », qui les supposent craindre pour l’avenir de leur fils.
L’hebdomadaire people relaye pour l’occasion les confidences livrées par l’animateur dans les colonnes de Paris Match. Il y faisait notamment part de ses inquiétudes quant à l’avenir de son fils à naitre.
« Nous attendons un fils. Un petit garçon . Enfin un homme dans la famille ! Entre ma femme, ma fille, ma mère, ma sœur, mes cousines, mes collaboratrices, je ne suis entouré que de femmes… Enfin un pisse-debout, un homme à qui parler ! Ma fille fait déjà de moi ce qu’elle veut. Quand je l’emmène jouer au parc, ma femme me prévient : “Elle va encore te plumer. Tu ne vas rien comprendre », a confié dans un premier temps Nikos Aliagas.
« Avec son frère, ils vont me mettre sur la paille ! Plus sérieusement, on est toujours jeune quand on a des gamins à la maison. On est immortel. C’est ce que me disait Claude Brasseur : “On dit la fin, il n’y a pas de fin ! Mon père est mort, mais je le vois encore à la télé, et il vit toujours dans mon cœur », poursuivait-il.
Le présentateur de The Voice évoquait aussi ses craintes de voir son fils évoluer dans un monde incertain, marqué notamment par les attentats et la crise.
« Tout le monde se pose des questions : que va-t-il se passer ? Comment protéger nos enfants ? Les temps sont durs dans toute l’Europe. Notre rôle c’est d’apaiser les tensions, le sentiment d’insécurité. Nous nous devons pas faire le jeu de ceux qui jettent de l’huile sur le feu. Partager la douleur devant les attentats ne doit pas remettre en question le droit de vivre ensemble. Ca a l’air utopiste, mais il n’y a pas d’autre issue. J’en suis convaincu, autrement, on ouvre la boite de pandore », glisse-t-il.
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