Renaud serait sans doute bouleversé par les révélations troublantes sur la tragique mort de Coluche, le parrain de sa fille.
S’il est une chose qui fait peur à Philippe Bouvard, c’est de perdre son émission radio hebdomadaire et sa chronique pour « Le Figaro Magazine ».
« Je ne peux pas m’arrêter mais on peut m’arrêter. Moi-même je ne sais pas où est le frein », explique-t-il dans une longue interview accordée à VSD.
« Je n’ai plus de billets à écrire pour Nice Matin. Quatorze ans que j’en dictais un chaque matin. C’était devenu un automatisme. Aujourd’hui je suis complètement paumé », explique Philippe Bouvard, 88 ans, qui regrette les conditions de la fin de cette collaboration avec le quotidien régional.
« Les responsables ne se sont pas très bien conduits. Ils m’ont laissé la liberté d’annoncer mon départ dans une chronique. Je me suis moi-même salué, à défaut de l’être par mes employeurs », rappelle l’animateur et journaliste.
« Si je n’avais pas aimé ce métier, j’aurais pris ma retraite. J’ai souvent eu peur qu’on m’arrête », glisse-t-il ensuite.
« Le jour où je n’aurai plus de raison professionnelle, je ne m’intéresserai plus à rien, je serai paumé », dit Philippe Bouvard.
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