Pierre Ménès a vécu un véritable enfer ce mercredi 1er mai. Le journaliste a terminé à l’hôpital en urgence. Il a été hospitalisé et opéré d’urgence d’une éventration stomacale.
Greffé du foie et du rein, Pierre Ménès a été choisi pour devenir l’ambassadeur du dépistage de la cirrhose NASH en France avec l’hôpital Beaujon.
Cette nouvelle mission et les épreuves traversées durant sa maladie, le journaliste en parle dans les pages du magazine « Télé-Star ».
« J’ai eu une cirrhose Nash, alors que je ne bois pas. On appelle ça ’la maladie du soda’, je n’en bois pas non plus. C’est le diabète qui a provoqué la maladie », confie-t-il.
S’il a bénéficié d’un nouveau rein, c’est parce qu’il se trouvait également en insuffisance rénale.
« Je n’ai pas pissé de juillet à décembre ! Aujourd’hui, à chaque fois que je pisse, c’est une victoire », explique-t-il.
« J’ai eu une petite infection, mais rien de très grave. En revanche, j’ai fait une profonde dépression au bout de quinze jours d’hospitalisation », regrette Pierre Ménès, qui durant cette terrible épreuve a pu compter sur les soutiens de sa compagne, Melissa, et de ses enfants.
« On te lave, on te torche, c’est épouvantable ! Je n’en pouvais plus, je pleurais tous les jours », témoigne-t-il.
Au cours de cet entretien, Pierre Ménès en profite pour parler de son retour dans Canal Football Club, emmené par Hervé Mathoux sur Canal Plus.
« Je ne l’appréhende pas plus que ça, mis à part que je vais chialer comme une Madeleine. Là, j’ai retrouvé ma voix et mon taux de conneries, lâche-t-il. J’ai réservé vingt-cinq places pour ma mère, ma compagne Mélissa et des amis ».
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