La jolie brune revient d’abord sur sa rencontre avec l’international français de Séville.
« C’était par hasard. Je travaillais comme hôtesse dans la loge Adidas, à Roland-Garros, quand il est arrivé pour fêter son doublé coupe-championnat avec l’OSC Lille. Je lui ai servi un café, je me suis dit ’il est vraiment pas mal’, mais je me méfiais de la réputation des footballeurs : fêtards, pas très fidèles... Dans l’après-midi, au calme, il est venu me parler et m’a tout de suite fait rire : j’ai craqué », reconait-t-elle.
Sidonie Biémont a fini par lâcher son travail pour suivre d’abord son homme à Valence, et ensuite à Milan, et finalement à Séville.
« Ma famille était réticente, certains de mes amis jaloux, mais j’ai écouté ceux qui me disaient : ’Fonce.’ Et je ne le regrette pas, même si ma vie n’est pas faite que de clichés Instagram » poursuit-elle.
« Je n’imaginais pas à quel point Adil serait absent, entre les matchs, les entraînements, les siestes quotidiennes », explique-t-elle par ailleurs, précisant au passage avoir réussi à composer avec la présence des filles hystériques entourant les footballeurs.
« À Milan, j’ai appris à prendre sur moi. (...) Il y aura toujours des filles plus jeunes et plus jolies que moi, je ne me stresse plus pour autant », dit-elle.