L’affaire Pierre Palmade a pris un nouveau virage sombre ce 2 octobre dernier après quatre individus ont été placés en garde à vue pour leur implication présumée dans un "trafic de stupéfiants" lié à l’humoriste. Cette enquête vise à élucider les circonstances entourant l’accident de voiture de Pierre Palmade survenu le 10 février précédent. Cyril Hanouna revient sur cette affaire en recueillant les confidences de l’ancien producteur de l’artiste de 55 ans.
Son quotidien est aussi dévoilé.
Parmi les personnes interpellées, la police a mis la main sur le présumé dealer du comédien . Pierre Palmade avait pris le voulant alors qu’il était sous l’emprise de stupéfiants. Les informations ont été obtenues grâce à l’analyse du téléphone de l’ancien ami de Muriel Robin, comme l’a rapporté Le Parisien.
C’est dans ce ce contexte que Cyril Hanouna a consacré une partie de son émission "Touche pas à mon poste" du mercredi 4 octobre pour aborder ce coup de filet. L’animateur a notamment invité Claude Fournier, l’ancien producteur historique de Pierre Palmade, à s’exprimer sur la situation.
Dans une interview sans filtre, Claude Fournier a révélé les dessous de soirées agitées qu’il partageait avec l’humoriste.
C’est des fêtes folles, caractérisées par un mélange explosif de drogue, de sexe et d’alcool. « On s’amusait ! Il y avait de la coke. Il y avait de l’alcool. J’ai fait énormément de soirées avec lui. On se retrouvait au restaurant », a-t-il confessé.
Et de préciser comment ils enchaînaient les établissements.
« Toute cette partie de soirée, on les faisait ensemble et moi. Les quelques potes que je connaissais, ceux qui m’intéressaient un peu plus que d’autres, je leur donnais rendez-vous chez moi ou chez eux ».
Ce n’était que le début de ce périple festif, comme l’a confirmé Jean-Marie Bigard, présent sur le plateau de TPMP : « Après, il y avait l’after, qui démarre à 11 h du matin, soit le lendemain de la fête et qui continue jusqu’à l’après-demain », a-t-il révélé.
Claude Fournier a corroboré en précisant que ces marathons pouvaient s’étendre sur « deux-trois jours ». Pierre Palmade serait coutumier de ces extravagances, les pratiquant « trois fois par semaine ».
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