Ségolène Royal a discrètement retrouvé l’amour dans les bras de Bruno Colmant, un économiste belge aux multiples talents. Leur histoire d’amour dure depuis trois ans, une relation qu’elle préserve jalousement des projecteurs médiatiques.
En confidence avec Gérard Davet et Fabrice Lhomme pour les besoins de leur livre, « Un président ne devrait pas dire ça », qui sort ce 13 octobre, François Hollande a balancé sur Valérie Trierweiler qui serait obsédée par Ségolène Royal.
« L’obsession de Valérie, ce n’était pas Julie ou une autre, c’était Ségolène », explique le président de la république, qui a mis un terme à sa relation avec Valérie Trierweiler suite à la révélation par le magazine « Closer » de sa liaison d’avec Julie Gayet, celle qui partage sa vie depuis trois ans.
« Elle n’était jamais rassurée. Parce qu’elle pensait toujours que Ségolène allait revenir », a poursuivi le chef de l’Etat dont le pire moment personnel dans le quinquennat a été l’implosion de son couple avec Valérie Trierweiler après sept ans de vie commune.
Lors d’un entretien accordé au Parisien, l’ex première-dame avait parlé de sa rivale.
Elle expliquait que le président de la république et la maman de ses quatre enfants sont indissociables.
‘Je m’incline. Ils sont indissociables. Cela dépasse leurs enfants. Tous les deux partagent un goût immodéré pour la politique. Le pouvoir est leur raison de vivre, leur obsession commune’, expliquait la journaliste.
‘L’enjeu a longtemps été de savoir lequel des deux accéderait à l’Elysée. C’est tranché. Lorsqu’en 2005, leur rivalité a pris le pas sur leur complicité, j’ai servi d’instrument pour la conquête du pouvoir’, ajoutait Valérie Trierweiler. ‘J’ai été naïve. Ce n’est pas ce sang-là qui coule dans mes veines. J’ai cru à cet amour, mais il n’y avait pas de place pour une autre femme dans cette histoire’.
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