Peut-être bien. Le conflit familial est alimenté par France Dimanche dans son édition de cette semaine.
En 2019, Alain Delon confiait pourtant Gala qu’il ne voulait pas que ses enfants se déchirent.
« Je ne voudrais pas que mes enfants se déchirent comme les Hallyday », avait lancé l’acteur émérite, décédé le 18 août dernier des suites d’un cancer. « Tout sera réglé avant ma mort, que ça plaise ou non. Si je ne le faisais pas, ce serait un déchirement, une guerre entre eux. ».
Pourtant, malgré ses précautions, la discorde est bien présente, déplore France Dimanche.
Alain Delon aurait lui-même provoqué le conflit en désignant sa fille unique, qu’il admirait profondément, comme exécutrice testamentaire et en lui léguant 50 % de sa fortune, estimée à 150 millions d’euros.
Bien malgré lui, il aurait semé les graines de ce conflit.
Ses deux fils doivent se partager le reste de l’héritage, sans compter l’appartement somptueux à Genèvequ’il a offert à Anouchka. Un héritage qui, au lieu de les rapprocher, semble aujourd’hui raviver les tensions familiales qu’Alain Delon redoutait tant.
Une action en justice serait en pleine préparation contre Anouchka, qui serait laissée de côté par ses frères.