L’animatrice se confie dans le cadre de la promotion de son dernier livre « J’emme*de Cendrillon ».
Elle n’a pas échappé à une question sur les critiques essuyées après laissé ses enfants à leur père installé en région parisienne.
« Heureusement que je peux choisir ma vie, sans me soucier du jugement des autres ! », répond Alessandra Sublet, qui voit ses enfants deux fois par semaine, comme beaucoup de couples divorcés.
« Je souhaite qu’ils restent dans leur maison avec leurs copains, leur école. Et je ferai les allers-retours. Or, force est de constater qu’à l’aube de 2022,
quand une femme dit je vais voir mes enfants une semaine sur deux et je pars vivre ailleurs, d’autres femmes qui se veulent féministes estiment qu’elle les abandonne. Laissons-les au Moyen Âge », a lâché celle qui n’en a que faire des critiques auxquelles elle s’est habituée.
"En sortant du lycée, mes copains me regardaient déjà de travers car ils allaient à la fac et que je n’avais pas envie de continuer. J’y suis rompue.
Je ne dis pas « suivez mon exemple » mais « suivez votre chemin ». Moi, je suis
allée à l’inverse de tous les diktats et, au final, je suis heureuse", explique-t-elle.