À la veille du réveillon de Noël, Jean-Pierre Foucault a été frappé par un deuil particulièrement douloureux. Il a perdu sa partenaire.
Des détails sur ce drame sont rapportés par le magazine Ici Paris.
Le dernier mois de l’année avait pourtant bien commencé pour Jean-Pierre Foucault, qui a été confronté dans le passé à des ennuis de santé.
L’animateur de 77 ans a, en effet, commenté en direct, le 14 décembre, le sacre d’Angélique Angarni-Filopon, couronnée Miss France à 34 ans, une première dans l’histoire du concours de beauté !
Cette victoire a, hélas, été ternie par du cyberharcèlement à l’encontre de la lauréate, violemment critiquée sur les réseaux sociaux pour son âge et son physique.
Ces réactions virulentes ont certainement affecté Jean-Pierre Foucault, qui espérait sans doute se changer les idées avec la diffusion sur TF1 du jeu Gladiators, qu’il coanime avec Denis Brogniart et Hélène Mannarino depuis le 27 décembre.
L’animateur a malheureusement appris une triste nouvelle dans l’intervalle. C’est sur son compte X que Jean-Pierre Foucault a partagé, le 23 décembre, son immense chagrin.
En légende d’une photo le montrant sur un balcon surplombant Marseille en compagnie d’une charmante femme brune, il a écrit : « Mimi Filipacchi, ma partenaire des jours heureux à Radio Monte-Carlo... des éclats de rire, une grande complicité et même un disque ensemble !! Adieu Mimi. »
Édith Filipacchi de son vrai nom, est décédée à l’âge de 77 ans. Avec elle, il a partagé des moments heureux.
Elle était la fille aînée du Daniel Filipacchi, le cofondateur de Salut les Copains, un magazine pour adolescents des années 60 qui a contribué à l’essor des chanteurs de la scène yé-yé.
Mimi Filipacchi avait d’ailleurs enregistré un 45 tours en 1971 avec Jean-Pierre Foucault. Les deux titres étaient New York City et Beaucoup d’amis, un seul amour.
Coécrits par Éric Charden, ils n’ont pas rencontré le succès escompté. Cet échec a mis un terme prématuré à la carrière musicale de ce duo, comme il y en a eu quelques-uns au début des années 70.
Comme le précise Ici Paris, la discrète Mimi a ensuite quitté la sphère médiatique pour mener une belle carrière au sein du puissant groupe de presse de son père, Hachette Filipacchi Médias, comprenant des titres aussi prestigieux que Paris Match, Télé 7 jours, Elle et France Dimanche.
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