Le destin impitoyable s’acharne sur Bernadette Chirac, l’ancienne première dame de France. Après avoir perdu son cher Jacques, elle subit une descente aux enfers, ébranlée par une chute lourde et inattendue.
Bien avant d’être fragilisée par la disparition de son mari emporté par la maladie en septembre dernier, Bernadette Chirac l’était déjà suite au suicide de l’un de ses proches. Il s’agit de son beau-fils, le premier mari de Claude.
Le politologue Philippe Habert aurait mis fin à ses jours quelques mois après avoir uni sa destinée à celle de la fille de l’ex président de la république. La relation conjugale était devenue compliquée suite à incident en direct à la télévision lorsque le politologue s’en prend à Édouard Balladur, allié de son beau-père.
Ce drame qui continuerait de hanter Bernadette Chirac, Gala en a fait état, occasion de reprendre les confidences de Jocelyne Sauvard, auteur de ’Jacques et Bernadette’.
Pour la veuve de Jacques, le suicide est à coup sûr la seconde cause « mortalité chez les jeunes après les accidents de la route ».
Et quelques années plus tard, c’était sa fille ainée, Laurence, qui avait tenté de mettre fin à ses jours à plusieurs reprises.
Celle qui se destinait à une carrière de médecin souffrait d’une anorexie mentale. Et elle perdra la vie des suites d’un arrêt cardiaque.
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