Il est comparé à Didier Raoult, épidémiologie médiatique, auquel Le Parisien a consacré un dossier dans son édition du 24 juin, une belle occasion de recueillir ses confidences et celles des Marseillais, qui ne se privent pas de le comparer à Bernard Tapie.
"Au snack la Fringale, où Didier Raoult, ponte des maladies infectieuses, "vient avaler « un kebab sur une salade », Nadine et Gilles, les patrons,
louent son esprit rock’n’roll", rapporte le quotidien, avant relayer leurs confidences.
Ils voient en Didier Raoult une sorte de Bernard Tapie, qui n’a jamais rien lâché. Malgré ses déboires judiciaires, il reste très apprécié dans la cité phocéenne.
"Nous à Marseille, on aime les grandes gueules. Avec lui,
on ressent la même chose qu’avec M. Tapie. », a-t-ils ont indiqué.
Cela pourrait lui faire chaud au cœur.
Atteint d’un cancer au dernier degré, l’ex-ministre suite un traitement révolutionnaire en Belgique.
Il n’est pas traité, il va mourir. "Il dit : ’J’ai été informé d’un traitement, dont on ne sait pas s’il est efficace véritablement. Mais il y a peut-être une chance qu’il le soit, donc je suis d’accord pour qu’on l’expérimente sur moi’", a expliqué son ami Olivier Mazerolle. "En France, il ne le peut pas, c’est pourquoi il va deux fois par mois en Belgique, où on autorise ce genre d’expérimentation avec un patient totalement conscient de la situation bien entendu.".