Elle a déjà évoqué sa vie dans « Bernard, la fureur de vivre » (éditions de l’Observatoire).
Installée à Paris, la veuve de Bernard Tapie révèle les réalités déchirantes de son quotidien. « Je suis à Paris, c’est mon fils qui m’aide à payer mon loyer. Je vis dans des conditions très précaires. Je dois 644 millions d’euros. Des dettes que je ne pourrai jamais honorer », avoue-t-elle lors de cet entretien, soulignant le fardeau financier qui pèse sur ses épaules.
Malgré les années compliquées avec Bernard, elle précise : « Le montant d’origine a été entièrement remboursé. Ce qu’on me demande, ce sont uniquement les intérêts. ».
Dominique Tapie, tout en évoquant les hauts et les bas de sa vie avec Bernard, insiste sur sa résilience.
« On a eu des années de galère et des années de réussite. Avec Bernard, c’était vraiment les montagnes russes. Mais maintenant, je vis au présent », déclare-t-elle, soulignant sa détermination à aller de l’avant malgré les défis financiers.
Entourée de proches, Dominique trouve du réconfort dans les moments de bonheur familial. « Ma fille Sophie est enceinte, elle attend un garçon au mois de février, il sera du même signe que son grand-père. La vie continue », indique-t-elle.
Pourtant, dans son deuil, elle confie recevoir des signes inexplicables de son regretté mari.
« C’est un phénomène paranormal qui ne peut pas s’expliquer par la logique. On parlait de lui, et devant ma fille, il y avait un tas de cèpes et on a vu un champignon voler », relate-t-elle. Un moment émouvant où « un cèpe est sorti du tas pour aller taper dans le thorax de Sophie. Et il y en a plein des comme ça. » Dominique attribue ces expériences à l’attachement indéfectible de Bernard, suggérant qu’il « ne voulait pas partir, il ne voulait pas me laisser. »