Trois ans après son double cancer, Bernard Tapie annonce une très heureuse nouvelle, celle peut-être de la fin de cauchemar. Une nouvelle réjouissante !
L’homme d’affaires avait dans un premier temps suivi une chimiothérapie.
pratiquée à l’Institut Paoli-Calmettes à Marseille. Mais son traitement n’aurait pas eu le succès escompté.
Cet établissement est pourtant l’un des seuls établissements en France à disposer d’une « arme fatale », le MRIdian, unique en France et réputé très efficace « sur les tumeurs, et moins délétère pour les organes sains voisins ».
Mais le miracle qui pourrait avoir lieu, c’est en Belgique qu’il serait en passe d’être réalisé.
Celui qui a été repéré en relative bonne forme à Saint-Tropez avec sa femme ouvre son cour à ce sujet et rappelle qu’il a servi de cobaye. En France, son traitement n’aurait pas pu être réalisé.
"En France, pour avoir la paix, les médecins refusent de vous soumettre à ce traitement. Mais si on ne l’avait pas mis en route, je ne serais certainement plus là pour vous en parler", a confié l’ancien ministre de la ville.
S’il n’avait suivi ce traitement expérimental à l’hôpital de Louvain en Belgique, sans doute serait-il déjà mort.
Si finalement, Bernard Tapie arrive à terrasser cette sournoise maladie, il aura l’opportunité de montrer aux Belges combien il les aime.
Et au détour de ses confidences, il a déploré le complexe de supériorité des Français, qui dénigreraient les Belges.
Ces articles devraient vous intéresser :
