Ophélie Winter aurait tenté de mettre le grappin sur Bernard Tapie, a confirmé sa veuve, Dominique, sur le plateau de Clique sur Canal+.
De l’étrange face à face de Bernard Tapie avec ses agresseurs a été évoqué par le magazine « Paris Match » qui dévoile des détails de sa terrible agression. Il aurait eu une seule satisfaction ce jour-là.
« Des gars comme vous, j’ai passé toute ma vie à en défendre », avait-il lâché à ses agresseurs. Mais malheureusement, c’était inutile et l’ancien ministre de la Ville va vite le comprendre.
« Enc*lé, c’est fini tout ça », lui avait répondu l’une des brutes, avant de lui asséner un coup au visage.
Et cette terrible scène se serait produite à plusieurs reprises.
« J’ai ressenti de la haine, j’ai vraiment cru qu’on allait y passer », confiera Bernard Tapie plus tard aux enquêteurs.
Paris Match en profite pour évoquer sa seule satisfaction, celle d’avoir « réussi à leur cracher au visage ». L’homme qui compose depuis des années avec un double cancer, serait fier de sa réplique.
Stéphane Tapie, le fils ainé de Bernard Tapie, s’était aussi confié sur les circonstances de cette agression sur le plateau de Touche pas à mon poste sur C8, où il intervient régulièrement.
Il a appris cette agression dont son père et sa belle-même ont été victimes à la télévision.
Bernard Tapie avait tenté de l’appeler à trois heures du matin, mais son téléphone était éteint.
« Mon père a commencé à m’appeler à 3h du matin mais je dormais donc je l’ai pas vu », avait-il indiqué. « Je l’ai découvert à 6h30 mais quand je me lève j’allume pas mon téléphone. Je prends mon café, je me mets devant la télé comme tous les matins et là je vois ça ».
« Ma femme me dit : ‘vite vite, viens voir ce qu’il se passe !’ et là j’allume mon téléphone et je vois 172 appels. C’est dur, tu le vois à la télé… Le café a du mal à passer », avait reconnu Stéphane Tapie.
« Ils s’attaquent d’abord à mon père, ils le mettent KO. Pour être sûr qu’il ne bouge pas trop. Et après ils se sont occupés de ma belle-mère », avait-il confié.
Les deux ont été attachés. Mon père a été attaché par les mains et les pieds au bout du lit. Ma belle-mère, ils lui ont attaché les mains et ils la trainaient dans la maison par les cheveux en lui hurlant de montrer où était le coffre… Et à chaque fois qu’elle répondait « non », elle en prenait une ».
Ces articles devraient vous intéresser :