Depuis que son époux, Emmanuel Macron, a pris la décision controversée de dissoudre l’Assemblée nationale, Brigitte Macron est la cible d’attaques d’une violence inouïe. Sa vie est devenue un véritable calvaire.
Durant la campagne présidentielle, Brigitte Macron avait diné avec Olivier Duhamel comme l’a révélé l’Express, pour autant, pas question de le soutenir après la révélation de ses supposés abus sur son beau-fils alors que celui-ci était adolescent.
La première dame était l’invitée du 20 heures de TF1, dans le cadre de la présentation des Pièces Jaunes, laquelle est cette année 100% digitale en raison de la crise sanitaire. Cette opération vise à améliorer la vie quotidienne des enfants, des adolescents et des jeunes adultes hospitalisés.
Sur le plateau, l’épouse d’Emmanuel Macron n’a pas échappé à une question sur cette affaire médiatique, ébruitée par Camille Kouchner dans son livre "La Familia grande", sans toutefois citer une seule fois le nom de l’illustre politologue.
« C’est courageux d’en parler », a déclaré l’ancien professeur de français et de latin, précisant que « le silence est la mort de l’acte ». La maman de trois enfants encourage les victimes à briser l’omerta.
« Il faut absolument que ces actes soient sus et qu’ils ne soient pas tus », a lancé la présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, qui a contracté la Covid-19, n’a pas su donner de réponse.
Et lorsqu’il lui est demandé si une réforme judiciaire était envisageable, la première dame explique que ce n’est pas son champ de compétence. Mais elle le souhaite.
« Je le souhaite, je l’espère, j’appelle de mes vœux », a-t-elle indiqué.
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