L’ex prof de français dont le statut de première dame n’a finalement pas pu se faire explique qu’elle n’a pas vécu leurs histoire d’amour comme une transgression puisque les choses allaient tout doucement. Ils ont amené « les choses progressivement » avec leurs proches.
« On n’a pas tout cassé même si on a brisé les choses forcément ! De toute façon, les séparations font beaucoup de dégâts. Les enfants souffrent souvent. Je sais que j’ai fait mal à mes enfants, et c’est la chose que je me reproche le plus. Mais je ne pouvais pas ne pas le faire », dit la première dame.
Elle rappelle aussi qu’il y a des moments dans la vie où des choix vitaux s’imposent. Brigitte Macron a donc dû prendre une décision.
« Donc les vingt ans d’écart, ce qui a pu être dit, c’est tellement rien. Bien sûr, on petit-déjeune, moi avec mes rides, lui avec sa fraicheur, mais c’est comme ça. Si je n’avais pas fait ce choix là, je serais à côté de ma vie », explique l’épouse d’Emmanuel Macron.
« J’avais beaucoup de bonheur avec mes enfants et, en même temps, je sentais que je devais vivre « cet amour là », comme disait Prévert pour être pleinement heureuse ».