L’heureuse maman de quatre enfants le confirme lors d’un entretien accordé à Madame Figaro, en répondant à une question sur l’éducation.
"J’ai reçu une éducation qui, à certains égards, était un reliquat du XIXe siècle", a-t-elle confié, se rappelant qu’elle ne voyait pas beaucoup ses parents.
Elle avait une nounou anglais et une gouvernante française. "J’étais au pensionnat des Dames de Saint-Maur", a précisé la belle-soeur de Charlène de Monaco, qui adorait l’école, où elle a excellé. Caroline de Monaco a cependant regretté que sa mère ne pouvait jauger de ses qualités à cause des ses connaissances limités en français.
"Mais à cause du mauvais français de ma mère, je recevais assez peu de louanges en présentant mes carnets de notes, ce qui m’agaçait un peu", a-t-elle reconnu. "L’éducation de mes enfants n’a évidemment rien à voir avec celle que j’ai reçue".
Pourtant, d’après Paris Match, Caroline de Monaco aurait reproché à sa belle-soeur sa maitrise limitée en française.
" Ses regards glaçants font frémir Charlène, comme si, racontera-t-elle un jour à une proche, une petite voix lui susurrait ce que Caroline semble alors penser tout bas : « You will never make it… » (« Tu n’y parviendras jamais… »", a rapporté Paris Match.
Caroline de Monaco aurait aussi reproché son fort accent sud-africain.