Dans son ouvrage introspectif, Pierre Palmade dont le procès pourrait avoir lieu en 2025, se remémore l’étonnement de son père face à son humour, qui séduisait les adultes.

Il tient à souligner qu’il ne possède pas « le même humour clownesque que Muriel Robin », mais plutôt un sens de la répartie. Il se décrit comme étant « plus spirituel que comique ».
Cependant, c’est lorsqu’il aborde ses peurs et ses tendances à s’engager qu’il risque d’intriguer Muriel Robin. Pierre Palmade confie sa crainte de l’attachement et révèle qu’un simple geste, tel que donner un double des clés de son appartement à son compagnon, peut conduire à des disputes et à une rupture inévitable.
Malgré cela, il avoue retomber dans le même schéma après quelques jours, cherchant « refuge dans les drogues et l’alcool, confronté au choc de la solitude ».
Celui qui est actuellement soigné à l’hôpital de Bordeaux avoue avoir tendance à rompre brusquement avec ses partenaires, car il n’aime pas les disputes, considérant qu’une dispute équivaut à une rupture. Il n’a pas encore intégré l’idée qu’un couple puisse se disputer sans pour autant se séparer.