Zaho de Sagazan a vivement critiqué Cyril Hanouna et son émission « On marche sur la tête » sur Europe 1, qu’elle accuse de « diaboliser la gauche et de dédiaboliser l’extrême droite ».
Dans « Cyril Hanouna, le bouffon qui devint roi », à paraître le 4 janvier, René Chiche revient sur les années galère de l’animateur de Touche pas à mon poste.
S’il connait le succès aujourd’hui, à l’époque, la profession lui tournait le dos. Mais pas question de toucher aux drogues.
« Pendant qu’Emilie travaille (…), Baba noie sa déprime. Pas dans l’alcool ou la drogue, car ces addictions ne sont pas dans ses gènes », confirme l’auteur de cette biographie.
« Il a trouvé dans les chips, les sodas et autres gourmandises d’autres paradis artificiels ».
« Je revendais tout et n’importe quoi. On n’avait pas de table de salon, avec Emilie, on mangeait nos pizzas sur une table de ping-pong », se souvient Cyril Hanouna, qui acceptait alors l’aide financière de sa mère Esther.
« Mes parents me donnaient 200 euros par semaine », expliquait-il en 2013 au magazine GQ.
En juillet 2007, il devait animer Les tubes des tubes, une émission musicale en prime time sur France 2. Mais au tout dernier moment, le patron des programmes de la chaîne, Eric Stemmelen le zappe au profit de Virginie Guilhaume et Marc Toesca.
Il a décrété une « fatwa sur Baba l’incontrôlable, craignant qu’il ne tourne en dérision certains artistes (…). Hanouna ne sera prévenu que quelques heures avant l’enregistrement », relate René Chiche.
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