Faustine Bollaert, d’habitude si zen et rassurante dans Ça commence aujourd’hui, a bien failli basculer dans un monde parallèle aux conséquences inattendues ! Elle est confrontée à une addiction, celle de TikTok, rapporte le magazine Ici Paris.
Le mari de Faustine, le romancier Maxime Chattam, pourrait bien s’inspirer de cette histoire angoissante pour un de ses best-sellers ! Mais pour l’instant, l’expérience est encore trop personnelle et terrifiante pour être romancée.
Tout a commencé innocemment, juste avant les vacances... Peut-être en regardant ses adorables enfants, Abbie, 12 ans, et Peter, 10 ans, l’idée a-t-elle germé dans son esprit ?
Un soir, Faustine, par pure curiosité, décide de télécharger l’application TikTok, le réseau social qui cartonne chez les moins de 24 ans.
Des vidéos courtes, funs, de tout et de rien... Mais derrière cette façade ludique se cachait un piège bien réel, indique Ici Paris, qui reprend les confidences livrées par l’animatrice lors d’un entretien accordé à l’Obs.
Elle avait évoqué cette addiction.
« C’est une maladie qui frappe à tout âge, vous laisse fébrile et vous épuise », a fait savoir celle qui a récemment ouvert les portes de son refuge en Bretagne.
Et Faustine a succombé ! Une vidéo, puis une autre, et encore... « J’ai voulu voir à quoi ça ressemblait, parce que je me suis dit qu’il y a un monde parallèle que je ne connais pas. Le premier soir, j’y suis allée à 22 heures et je ne me suis absolument pas rendu compte que j’y suis restée jusqu’à 2 heures du matin. Je voulais absolument voir la vidéo d’après. Le lendemain matin, en me réveillant, je me suis dit ’c’est fou’, parce que je ne suis pas accro aux réseaux sociaux, mais là c’était addictif et je n’ai pas vu le temps passer », disait-elle une autre fois à PurePeople.
Heureusement, Faustine Bollaert a très vite pris conscience du danger : « J’ai supprimé l’application en me disant c’est dangereux pour ma vie réelle, en fait. C’est tellement chronophage ! Tout ça m’a paru lunaire, je me suis dit qu’il y avait déjà tellement de choses à ingurgiter dans notre vie réelle pour ne pas me rajouter, en effet, des nouvelles interrogations à travers ce réseau social, où ça va tellement vite.. ».
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