C’est un Gérald Darmanin inhabituel que les lecteurs de Paris Match ont découvert ce mercredi. L’homme fort du gouvernement, souvent décrit comme froid et austère, s’est affiché en père comblé aux côtés de son fils, fruit de son amour avec Rose-Marie Devillers. Un cliché tendre et complice qui a fait le tour des réseaux sociaux, suscitant des réactions contrastées.
Si certains ont salué la transparence du ministre de l’Intérieur, d’autres l’ont accusé d’instrumentaliser son enfant à des fins politiques.
« C’est incroyable qu’un ministre utilise ses enfantspour faire de la propagande", s’est indigné un internaute. "Ce n’est pas nouveau, il réchauffe la méthode Sarkozy », a renchéri un autre.
Mais au-delà de la polémique, c’est une autre image de Gérald Darmanin qui se dessine. Un homme amoureux et dévoué à sa femme, Rose-Marie Devillers, qu’il décrit comme son "pilier".
« Entre nous, les discussions sont franches, nous sommes à la fois discrets et fusionnels. Malgré les contraintes de la vie politique, on ne peut pas se passer l’un de l’autre. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle » confie-t-il à Paris Match.
Un tendre message d’amour illustré par une citation de Georges Brassens : "Sans ses cheveux qui volent, J’aurais dorénavant, Des difficultés folles, À voir d’où vient le vent ».