Dans un émouvant récit publié dans le magazine Paris Match, les détails poignants entourant la disparition de Jane Birkin sont dévoilés. Le 16 juillet, aux alentours de 11 heures du matin, Nelly, son aide-soignante, fait une terrible découverte dans la demeure de la rue d’Assas.
Jane Birkin gît inanimée dans un fauteuil. Un nouvel AVC aura été fatal à l’artiste. Elle n’a pas mis fin à ses jours comme le laissait entendre le communiqué ambigu de ses filles.
Rapidement, Roman, son petit-fils, accourt sur les lieux, bouleversé par la tragédie. Il emmène Bella, le dernier bouledogue de sa grand-mère pour une promenade.
Puis, c’est l’arrivée de Lou Doillon, sa fille, et de son compagnon Stéphane Manel, de retour de Saint-Paul-de-Vence, suivis par Yvan Attal et Charlotte Gainsbourg. Avant ce drame, Jane Birkin avait fait part à ses proches de ses dernières volontés. Elle souhaitait une cérémonie à l’église selon le rite anglican, puis une incinération, avec une inhumation au cimetière du Montparnasse, où reposent Kate, sa fille aînée, et non loin de la tombe de Serge Gainsbourg, son amour éternel.
Malgré son départ, Jane Birkin reste présente dans le cœur de ses proches, dont la douleur est immense. « Ses mots, ses chansons et son héritage artistique continueront de résonner à travers les générations, perpétuant la mémoire de cette femme emblématique qui voulait simplement vivre, mais à qui la vie a cruellement été arrachée ».