
Nathalie Marquay, la veuve de Jean-Pierre Pernaut, est affichée en Une de Spécial Dernière. Elle se lâcherait en vacances.
Alors que Jean-Pierre Pernaut s’apprête à quitter le navire du 13 heures de TF1 après une trentaine d’années de bons et loyaux services, quelques anecdotes sur son parcours ont été rappelées. Le mari de Nathalie Marquay n’a pas toujours été sage. Il est même casse-cou.
C’est ce que rappelle le magazine "France Dimanche" qui le met à l’honneur, en rappelant que quelques faits marquants de son expérience. Jean-Pierre Pernaut a pris des risques.
"JPP n’a pas toujours été confortablement assis dans son fauteuil, tandis que les reporters zélés étaient sur le terrain", rapporte le magazine people.
Et d’assurer que celui qui a lutté contre un cancer de la prostate était même casse-cou en son temps. C’était au début des années 90’.
"Quatre ans après la catastrophe de Tchernobyl, dans une URSS moribonde, il est l’un des premiers journalistes occidentaux à se rendre sur le site de la centrale nucléaire, interdit au public, équipé d’un compteur Geiger,", précise la publication.
Cette séquence a été évoquée par Jean-Pierre Pernaut lui-même lors de son passage dans C à Vous, l’émission presque quotidien d’Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5.
"On avait des VHS à l’époque, et on voyait la radioactivité qui brouillait l’image, a indiqué celui qui tirera qui quittera le 13 heures de TF1 dans quelques jours.
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