Laeticia Hallyday - Cette nuit folle de Johnny avec Matthieu Chedid sous substances hallucinogènes !
Laeticia Hallyday serait sans doute au courant de la folle nuit passée par son regretté mari, Johnny Hallyday, avec Matthieu Chedid.
Johnny Hallyday soigné pour un cancer- David Khayat de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à son chevet
C’est le professeur David Khayat, chef du service d’oncologie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, qui aurait été appelé pour s’occuper de Johnny Hallyday, actuellement soigné à Los Angeles pour un cancer des poumons.
D’après Closer, juste après les fêtes de fin d’année, le chanteur de 73 ans subissait le premier des cinq protocoles qui avaient été décidés par les spécialistes en oncologie.
Ces autres traitements ont eu lieu ensuite à son domicile californien « où une infirmière se rend très régulièrement ».
Au début, les protocoles ont bien fonctionné, « mais ces dernières semaines des métastases ont envahi son foie et son estomac, de quoi le rendre difficilement opérable... Le mois dernier, il a d’ailleurs fait venir le professeur David Khayat qu’il connait depuis longtemps », indique le magazine people.
Ce chef du service d’oncologie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière serait resté auprès du taulier durant 48 heures.
Et il lui aurait confirmé la gravité de son état... « De très sombres perspectives dont le chanteur de 73 ans pensait s’être affranchi, après les problèmes de santé qui l’avaient terrassé en 2009 », précise la publication.
D’après Closer, les premiers symptômes seraient apparus lors des fêtes de fin d’année. Johnny Hallyday aurait ressenti « un essoufflement inhabituel, une toux chronique » et une « fatigue inexpliquée ».
En consultant un médecin, celui qui partage son temps en Los Angeles et Paris aurait découvert la gravité de la situation.
Il s’agirait d’un cancer du poumon qui aurait dégénéré.
Johnny Hallyday aurait « des métastases dans le foie, l’estomac et le pancréas ».
Il serait soigné dans sa résidence de Pacific Palisades en Californie, et suivrait en toute discrétion des séances de chimiothérapie « à un rythme qualifié d’intense ».
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