De son décès, le magazine « Gala » y revient dans son édition de cette semaine, rappelant que la fille de l’ex président de la république a souffert presque toute sa vie d’anorexie mentale.
Celle qui se destinait à devenir médecin n’apparaissait presque jamais en public. Ses parents et sa sœur cadette, Claude, avaient même décidé de la protéger de la médiatisation.
« Ils n’en parlaient qu’à une poignée d’intimes », explique au magazine « Gala » Candice Nedelec, auteure de Bernadette et Jacques, paru en poche en février dernier (Points Document).
« Mais Bernadette en parlait plus que Jacques », précise-t-elle ensuite.
La souffrance de Laurence Chirac restait donc un douloureux secret, pour éviter que sa maladie soit exploitée par les adversaires de son père.
« Dans un monde politique où la moindre faille peut être exploitée, il n’était pas question qu’il en parle. ».
D’ailleurs, aucune photo de Laurence n’ornait jamais le bureau de son père.