De a relation très complexe avec sa mère, Raymonde, qui est aujourd’hui décédée, Laurent Ruquier en parle dans les colonnes du JDD, comme il en avait déjà parlé dans « Marie Claire » il y a un an.
« J’encaisse. Je suis du genre fataliste, je me dis : “Demain, ce sera oublié.” Je suis triste, je combats le moment et j’essaie de passer vite à autre chose. J’ai eu des disparitions récentes, un frère, ma mère. J’allais dire : “Une mère”… Voyez : comme quoi je n’étais pas si proche d’elle… C’est un lapsus révélateur. », expliquait l’animateur star de France 2.
S’il n’était pas proche d’elle, c’est parce qu’elle a toujours tenté de le rabaisser.
Tout au long de son enfance et sa adolescence, Laurent Ruquier a entendu cette phrase : « Ah, si seulement la pilule avait existé, il ne serait pas là, celui-là ».
« Cette phrase de ma mère a nourri un besoin de reconnaissance, révèle-t-il dans Le JDD. Exister, prouver que je n’étais pas là par hasard. Contrairement à la radio ou à la télé, une pièce peut continuer à vivre même quand vous n’êtes plus là ».