« Il m’a dit un jour que si je devais mourir avant lui, il se tuerait et demanderait à ce que l’on soit incinérés - il savait que je voulais l’être - et que nos cendres soient mêlées dans un joli pot, confie la jolie brune, qui brise le silence dans les pages de Gala, histoire de mettre le fils de Sheila dans la lumière.
Et de poursuivre : « Mais il était sûr de partir le premier, même avant sa mère. Il avait eu ces mots alors : ‘si je pars avant toi, ce qui arrivera, je veux être avec Papy et Mamie ».
« C’était ses grands-parents maternels », précise Sylvie Ortega Munos.
« Enfant, quand sa mère est partie aux Etats-Unis, c’est sa mamie qui s’était occupée de lui. Elle lui manquait beaucoup. On allait souvent dans sa tombe », ajoute Sylvie Ortega dont la relation avec Sheila ne serait pas au beau fixe.
Dans son numéro de demain, le magazine Closer revient sur leur inimitié et confirme que la chanteuse de 70 ans a évité comme la peste « sa belle-fille » lors des obsèques de son fils unique à Paris.
Le 17 juillet, en se rendant aux obsèques de son fils, l’artiste devait faire ‘son entrée à l’édifice à côté de Sylvie Ortega Munos, la compagne de son fils, et d’Annie Markhan, l’ex attachée de presse de la chanteuse », précise la publication.
Mais Sheila aurait changé d’avis à la dernière minute en empruntant une porte dérobée.
Elle se serait installée à côté de son agent Stéphane Latellier-Rampon.
Et à la fin de l’office religieux, elle est sortie rejoindre son fils dans le cimetière des Arches à Louveciennes dans les Yvelines.
Il n’était pas question pour elle de croiser la compagne de Ludovic Chancel.
C’est au cimetière des Arches à Louveciennes que Ludovic Chancel, qui serait mort d’une overdose médicamenteuse, été inhumé dans le plus stricte intimité, à côté de ses grands parents.