Une lueur d’espoir pour Meghan Markle et le prince Harry, et c’est le roi Charles III qui pourrait jouer le rôle du médiateur bienveillant. Vers la fin de la guerre ?
La reine Elisabeth aurait vu d’un bon oeil l’entrée dans la famille royale de Meghan Markle, le coup de coeur du prince Harry.
Paris Match revient longuement sur l’entrée de l’actrice de 36 ans dans la famille royale, et évoque sa relation avec les autres membres de la famille, et en particulier avec Kate Middleton.
« leur jalousie ferait vendre, mais je prédis une union sans faille », indique un proche, « car William et Harry connaissent les ravages d’une communication non contrôlée ».
Et puis « les frères demeurent soudés par la perte de leur mère et l’affection, sincère et contrastée qu’ils éprouvent à l’égard de leur père », poursuit la publication.
Paris Match en profite pour en dire plus que les impressions de la reine, et prétend celle-ci ravie de cette future union.
En 2018, la souveraine est consciente qu’il vaut mieux « un mariage d’amour avec une fille sérieuse qu’une union arrangée avec une gourde aristocrate ».
Pourtant, la semaine dernière, le Daily Mail affirmait que la fiancée du prince Harry n’en pouvait plus du protocole très strict imposé par le palais.
« Meghan sait qu’elle doit agir différemment en public désormais mais elle était choquée de certaines restrictions auxquelles elle doit se soumettre », glissait une proche, estimant que certaines règles sont parues à la fiancée du prince Harry très vieillottes et ridicules.
« Certaines des règles lui ont paru vieillottes et ridicules. Par exemple, elle doit attendre qu’on s’adresse à elle pour parler et toujours laisser le prince Harry s’exprimer le premier. D’autre part, elle doit toujours marcher derrière lui car il ne faut qu’il ait l’air d’être dominé par sa femme », indiquait cet intime de la fiancée du prince Harry.
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