« J’ai vécu un gros pépin, mais cela m’a aussi permis de voir que tout le reste (sa vie privée) est vraiment solide. Je n’aurais pas aimé laisser mon fils et ma compagne dans la nature », confie le chanteur qui se livre longuement dans les pages de Paris Match, quelques jours après être sorti de l’hôpital où il avait soigné pour une embolie pulmonaire, à l’origine de l’annulation de ses concerts.
« Toute cette histoire m’a responsabilisé vis-à-vis d’eux, j’ai enfin envie de prendre des précautions financières ou techniques pour eux. Parce que je sais, désormais, qu’on peut partir du jour au lendemain », poursuit Michel Polnareff.

De son fils, Michel Polnareff, en parlait aussi dans son livre « Spèrme », où il évoquait
La trahison de sa compagne Danyellah, qui lui avait caché qu’il n’était pas le père biologique de leur fils.
Danyellah avait en effet fait appel à un donneur pour concevoir un enfant sans en informer son homme.
« Quelques jours plus tard, je n’avais pas compris pourquoi il me fallait à tout prix signer des papiers pour reconnaître cet enfant comme le mien, écrivait le chanteur.
C’est l’urgence à devoir signer cet acte de naissance qui m’a dérangé. Mon instinct ne m’avait pas trompé : quand j’ai demandé un test ADN, Danyellah s’est effondrée en larmes. L’enfant n’était pas de moi mais d’un donneur de sperme ».
« Je n’ai pas compris pourquoi. Encore aujourd’hui, nous avons des œufs prêts pour la fécondation (…). J’ai essayé d’oublier ce petit homme dont j’étais si fier d’être le père, c’est vrai. J’ai coupé les ponts (…). J’essayais d’oublier Danyellah et cet enfant, qui n’était pas le mien. Je n’y suis pas arrivé. Je suis très attaché à Louka », faisait-il ensuite savoir.