Cindy Fabre, couronnée Miss France en 2005, brise le silence sur les défis qu’elle a dû affronter après son règne de beauté. Dans une interview accordée à TV Magazine, elle révèle les obstacles qu’elle a rencontrés sur le marché de l’emploi malgré sa notoriété.
Ses confidences sont reprises par le magazine Ici Paris.
La patronne des Miss confie avec sincérité que remporter le titre de Miss France ne garantit pas automatiquement une carrière florissante dans un domaine spécifique.
« Être reine de beauté permet de rebondir sur des opportunités mais ne nous apporte pas de compétences dans un secteur bien défini », reconnaît-elle. Cindy se souvient de son passage à Pôle emploi après son règne. Et les choses n’ont pas été évidentes. « On ne rentre dans aucune case… », a-t-elle déploré.
La recherche d’un emploi s’est avérée particulièrement difficile pour l’ex-reine de beauté, qui a été confrontée à des préjugés tenaces lors des entretiens d’embauche.
Pour surmonter ces stéréotypes, elle a même été contrainte de prendre une décision radicale : changer de nom sur son CV.
« Les gens avaient juste envie de voir Miss France… Il faut arriver à dénicher l’employeur qui nous prend pour nos compétences et laisse tomber les préjugés… »,déclare-t-elle.
Finalement, Cindy Fabre, qui a récemment fini de son célibat, a trouvé sa voie en devenant directrice générale de la société Miss France, une reconversion inattendue qui a défié les attentes.
Cependant, l’étonnement ne s’arrête pas là, car le poste de président de la cérémonie a été attribué à Frédéric Gilbert, un homme, producteur de l’événement depuis quinze ans, rappelle la publication.
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