Ce 22 janvier 2025, Cindy Fabre a annoncé son départ de la société Miss France. Les coulisses de cette décision, survenue après seulement deux ans et demi de collaboration, se dévoilent.
Cindy Fabre a annoncé la fin de sa collaboration avec la société Miss France par ces mots : « C’est avec beaucoup d’émotion que je vous annonce la fin de ma collaboration avec la Société Miss France, après trois années intenses et incroyablement enrichissantes ».
Alors que ce départ peut surprendre, notamment après le remplacement de Sylvie Tellier, la société Miss France a assuré que le contrat de prestataire de Cindy Fabre arrivait simplement à son terme, le 31 décembre 2024.
La direction a également mentionné que Cindy Fabre, ayant un emploi parallèle, n’avait plus la possibilité d’assurer sa mission sereinement.
Cependant, selon Public.fr, la situation en coulisses serait plus complexe. Une source indique que Cindy Fabre aurait « décidé de ne pas reconduire » son contrat, une décision prise en seulement 10 jours.
Public.fr révèle que l’interview radio polémique de Miss France 2025, Angélique Angarni-Filopon, aurait déstabilisé Cindy Fabre.
Le 8 janvier 2025, sur Sud Radio, la Miss avait déclaré à propos du droit au blasphème et de la liberté d’expression : « Je préfère pas me prononcer. Non… ».
Ces déclarations ont suscité une vive polémique. En coulisses, Cindy Fabre aurait essuyé les critiques.
Selon la source de Public.fr, Alexia Laroche-Joubert aurait « été très sèche avec Cindy Fabre en lui reprochant de ne pas avoir suffisamment préparé Angélique à des questions litigieuses, qui pourraient la mettre en mauvaise posture ».
Suite à cette polémique, Cindy Fabre se serait entretenue avec Angélique Angarni-Filopon, lui signifiant que sa réponse était « impensable, inaudible et intolérable » et qu’elle devait se préparer à ce type de questions. Cette dernière a été ciblée par les menaces suite à cette vive polémique.
L’ambiance en coulisses aurait été « très compliquée ces 10 derniers jours », au point que Cindy Fabre aurait « préféré partir d’elle-même », selon cette même source.
Malgré l’insistance de Frédéric Gilbert, le directeur général de la société, qui aurait « tenté d’apaiser les tensions » car « en termes d’image, partir un mois seulement après l’élection, ce n’est pas génial », Cindy Fabre a maintenu sa décision.
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