’Oh non ! Rien ne peut consoler. En tant que mère, je n’ai plus confiance dans la vie’, répond l’artiste à une question d’une journaliste de ’Télérama’ lui demandant si la scène lui permettait d’oublier le drame qu’elle a traversé l’an dernier suite au départ tragique de sa fille, victime d’une chute de deuxième étage de son appartement parisien.
’Avant j’étais sûre que rien n’arriverait aux miens si j’étais près d’eux. J’avais la conviction démesurée que tout irait bien’, poursuit Jane Birkin.
’Maintenant... Une panique nouvelle est apparue pour les autres enfants. Ça change une vie. Complètement. Les premiers temps, je ne savais même plus faire la cuisine - ni toutes ces choses que je faisais les yeux fermés’, a-t-elle ensuite glissé.
La chanteuse et comédienne en profite pour saluer les qualités de la défunte, rappelant que celle-ci était très engagée.
’Elle avait monté un centre pour toxicomanes et alcooliques. Quand elle avait 20 ans, elle-même était allée dans un endroit similaire en Angleterre ; à l’époque ça l’avait sauvée. Et une fois guérie, elle avait voulu faire la même chose en France. Je rencontre sans cesse des gens qui m’en parlent’, a-t-elle confié.