La nouvelle de la mort d’Ari Boulogne a secoué le public. Dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 mai, le fils présumé d’Alain Delon a été retrouvé sans vie dans son appartement parisien.
Des derniers jours de Nathalie Delon emporté à l’âge de 79 ans des suites d’un cancer du pancréas, son fils Anthony en parle dans les colonnes de Paris Match.
« C’était une lionne dans un corps de moineau. Petite, fine, dotée d’une grande culture, d’une intelligence subtile et aussi d’une énergie vitale, d’une force physique et mentale hors du commun", a confié l’acteur, qui a annoncé il y a quelques jours sa disparition dans sa vibrant message posté sur Instagram. "Personne n’a jamais pu se mettre en travers de sa route, ni décider à sa place. C’était quelqu’un de solaire".
Et jusqu’au dernier moment, elle a gardé le contrôle sur son traitement. Elle refusait de subir des chimios.
« J’ai 78 ans", lui avait-elle dit, je me suis éclatée, et je ne veux pas décrépir à coups de chimio, me regarder mourir… ».
Et lorsqu’une intervention lui a été proposée, elle a refusé. Pourtant, elle aurait pu gagner un peu de temps face au terrible crabe.
« Elle n’a pas voulu. On s’est levés, on s’est barrés. C’était violent », s’est rappelé Anthony Delon, qui était l’objet d’angoisse de sa mère.
« On venait de lui annoncer qu’elle allait mourir et, elle me l’a confié après, sa première pensée avait été : “Me*de ! Anthony est là, il a tout entendu.” Elle me protégeait encore une fois, comme un gosse sur les yeux duquel sa mère pose une main, pour l’empêcher de voir le sang ».
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