« Il y a des rumeurs qui disent qu’Alain Delon serait en phase terminale de cancer !, rappelle dans TPMP Myriam Palomba, l’ex-directrice de rédaction du magazine Public.
Mais cette question, Anouchka Delon, y avait répondu cet été lors d’un échange avec ses frères.
La journaliste évoquait sur le plateau de TPMP, l’émission de Cyril Hanouna, sur C8, sur les déboires actuels de l’acteur émérite.
La journaliste n’en dit pas plus. Mais dans un message d’Anouchka Delon, la fille de l’acteur, celle-ci a évoqué une chimio, tout en précisant que son père n’est pas en phase terminale.
Dans une conversation SMS révélée par BFMTV, les trois enfants sont tourmentés par la santé déclinante de leur illustre père. Un échange de points de vue qui prend aujourd’hui une autre résonance à l’heure où la fratrie se déchire.
« Je pense à ce jour qu’il en a marre de se battre », Anthony Delon préconise l’arrêt du traitement médical de leur père, atteint d’une lourde maladie, sans doute le cancer.
« D’ici le 10 août, on y verra plus clair, je pense, sur l’état de papa. […] S’il plonge, il ne sera pas transportable et l’acharnement thérapeutique inutile. Il faudra donc l’entourer tous à Douchy (le domaine de l’acteur dans le Loiret) avec le max de confort et d’amour et l’accompagner. S’il rebondit, ce dont je doute un peu malheureusement, […] je ne vois pas non plus la nécessité de le crever pour l’emmener en Suisse pour lui faire encore un examen toxique qui ne sert plus à rien à ce stade puisqu’on connaît la réponse et qu’on ne peut de toute façon rien y changer. […] Et je pense à ce jour qu’il en a marre de se battre », lâche Anthony Delon pessimiste. Il va même préconisé un traitement à base de produits naturels et de jus de plantes.
Anouchka Delon semblait accablée : « Moi, ça me tombe dessus, et à te lire, on a l’impression que papa est mourant !!! » écrit-elle. « Il est pas en soins palliatifs. Ni en phase terminale », ajoute celle qui espère que son père soit soigné dans une clinique en Suisse. « On a beau avoir chacun un avis, on est pas des spécialistes. ».
Elle précise qu’elle veut bien réfléchir à un arrêt du traitement, « mais avec l’avis des médecins spécialisés également ».
« Que ce soit clair, c’est une décision à prendre à trois, certes difficile. Il faut être conscients que, qu’on continue ou arrête le traitement, s’il lui arrive quelque chose, ça sera de notre faute », lâche Anouchka.
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