Alors que la France est en deuil suite à la découverte des ossements du petit Émile, Alain Finkielkraut se retrouve au cœur d’une polémique pour sa réaction jugée insensible lors d’une émission de BFMTV.
Suite à sa sortie médiatique pour défendre Olivier Duhamel qu’il estime victime de lynchage, Alain Finkielkraut semble regretter ses propos pour ses proches.
L’écrivain a été évincé par LCI suite à ses propos choc sur l’affaire Olivier Duhamel, accusé d’abus sur son beau-fils par Camille Kouchner, sa belle-fille, dans son livre, « La Familia grande ».
« On s’unit contre lui (…) Qu’est-ce que c’est que la justice dans les prétoires ? C’est l’instruction à charge et à décharge, c’est le contradictoire et c’est aussi les avocats. Là il n’y a pas d’avocat et il ne peut pas y avoir de contradictoire car ni la victime, ni l’accusé ne parlent », avait lancé Alain Finkielkraut.
Et dans les colonnes du magazine « Le Point », l’écrivain exprime ses regrets. "J’ai deux regrets. J’ai été naïf en oubliant que les réseaux sociaux font désormais la loi. Et j’ai été égoïste en oubliant que je n’étais pas le seul à porter mon nom", a-t-il indiqué. "D’autres que moi qui devraient avoir le droit d’exister par eux-mêmes sont contraints de répondre de ce que la mauvaise foi ambiante appelle mes ’dérapages’. Cela me serre le cœur."
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