« Je ne pense pas que vous soyez un penseur d’extrême droite, ni que vous faites le jeu du Front national », indique d’abord le chroniqueur de « On n’est pas couché » qui a pris la place d’Aymeric Caron cette saison.
’Je vous classe parmi les gens qui envahissent tout l’espace par une pensée qui, bien souvent, relève d’une pensée du bistrot’, lance-t-il ensuite, en référence à la position du philosophe sur le drame des migrants. « Il y a un mois il n’y avait pas d’argent pour nous, maintenant il y en a pour les migrants », a-t-il indiqué.
Yann Moix demande ensuite à Michel Onfray s’il ne se sent pas ’du côté du consentement meurtrier’, en référence à Albert Camus, auteur très apprécié par Michel Onfray.
‘Vous savez, j’ai dit que vous étiez un excellent romancier, ce que je crois toujours, mais il ne faut pas que vous vous essayiez à la pensée, ce n’est pas fait pour vous’ glisse-t-il avant d’opposer les ’mondanités’ ou le ’pouvoir’ du chroniqueur de Laurent Ruquier face au « peuple qui va au boulot tous les matins ».
« Votre place, on me l’a proposée, je l’ai refusée... Le peuple, c’est celui qui s’en prend plein la figure tous les jours », insiste-t-il.