S’il est une chose que Patricia Kaas regrette, c’est d’habiter en face de l’Elysée, surprotégé depuis que la France a été endeuillée par plusieurs attentats terroristes.
« C’est le bordel, c’est horrible, on ne peut plus rien faire, on ne peut plus bouger, on est parqués derrière des barrières, je suis surprotégée depuis qu’ils ont fermé la rue du Faubourg de Saint-Honoré. Les taxis ne passent pas », confie la chanteuse, interrogée dans les pages du dernier numéro de VSD, où elle assure la promotion de son dernier album « Patricia Kaas ».
« Bon, je peux encore porter ma valise, mais c’est quand même pénible », dit-elle, précisant qu’à partir de 20 heures, une fois que les policiers ont fermé les barrières, les piétons ne passent plus.
« Donc si tu invites quelqu’un à boire un verre, si tu ne laisses pas le nom, personne ne passe. Et je suis désolée, mais c’est ton intimité, t’a pas envie que le monde sache qui vient et qui part de chez toi ».
« Comme en plus, je suis une personnalité, les gens jasent », regrette Patricia Kaas.
Pour autant, la chanteuse n’est pas prête d’aller voter. « Je sais que ce n’est pas bien, mais je n’irais pas voter », conclut-elle.
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