Cette similitude, l’humoriste de 55 ans, qui serait toujours soigné à Bordeaux pour ses addictions et pour les conséquences de son AVC, en a fait état dans son ouvrage "Dites à mon père que je suis célèbre".
"Je m’avance donc v ers le maire aux côtés de Véronique, ceinturé d’une écharpe tricolore, comme il se doit. L’émotion est palpable et chacun est conscient de la solennité de l’instant. Le maire prononce son discours, c’est rapide, comme dans un rêve, une autre dimension », a-t-il indiqué dans son ouvrage.
Le maire « nous déclare mari et femme, et là, c’est le moment le plus fort, le plus émouvant de la cérémonie, comme si tout le reste s’était évaporé d’un souffle : j’embrasse Véronique Sanson Palmade. Elle porte mon nom ».
Du point de vue de la société civile, c’est d’une grande importance pour moi. « Je pense à mon père, à ma mère, à leur mariage. Une photo est prise pendant la cérémonie : Véronique me regarde, ma mère me regarde ; elles ont le même profil ! C’est troublant ».