Les relations de Pierre Palmade avec ses proches, notamment Muriel Robin et Michèle Laroque, semblent destinées à être émaillées de séparations soudaines. Sa capacité à cesser d’aimer du jour au lendemain est saisissante, laissant souvent derrière lui des ponts brisés.
Cette tendance n’a pas échappé à l’observation de son amie Carole Bouquet, qui a soulevé ce trait de personnalité.
Pierre Palmade, qui serait soigné actuellement à Bordeaux, sa ville d’origine, aborde cet aspect dans son livre « Dites à mon père que je suis célèbre ».
Il révèle les paroles de Carole Bouquet : « Carole Bouquet m’a toujours dit : « C’est hallucinant, ta capacité à ne plus aimer du jour au lendemain. ».
Quand c’est fini, je coupe les ponts. Tous les ponts. Comme si je ne voulais plus souffrir. Peut-être parce que je sens que l’autre est capable de me quitter ou de s’éloigner. Ça vient de la mort de mon père. Je ne veux pas qu’on m’abandonne, je préfère abandonner. J’aime quelqu’un à partir du moment où j’imagine ne plus être avec lui.
Muriel Robin m’a avoué : « Tu ne sais pas à quel point c’est difficile de ne plus se faire aimer par toi. »."
Malgré cette tendance abrupte, Pierre Palmade reconnaît qu’il n’adopte pas une attitude désinvolte. Il entretient un lien avec ses anciennes muses, partenaires et amours, montrant ainsi qu’il reste attaché à ces relations qui ont eu leurs raisons d’exister.
"C’est vrai que je peux changer de muse, de partenaire, de copain. Mais je ne suis jamais désinvolte. Ceux que je quitte ne m’en veulent pas. Ils doivent sentir que je le fais pour me protéger. Après, c’est plus doux. Je reste en contact avec mes ex. Les ex-copains comme les ex-amants. Parce qu’on s’est aimés pour des bonnes raisons."