Si Pierre Palmade s’est finalement décidé à se lancer dans une carrière d’humoriste, c’est suite à un conseil d’un prof de philosophie en classe préparatoire d’HEC.
Dans son ouvrage, « Dites à mon père que je suis célèbre », Pierre Palmade, actuellement en pleins déboires à cause de l’accident provoqué alors qu’il était sous emprise, a dévoilé une autre addiction, celle de la médiatisation. C’est un côté narcissique.
Dans cet ouvrage, il a révélé une autre facette de sa personnalité : son addiction à la médiatisation. Il avoue ainsi une part de narcissisme en lui.
Dans ses écrits, il replonge dans ses débuts et partage ses pensées les plus intimes : « Il y a un Pierre qui se découvre très narcissisé par ses apparitions à la télévision. Les gens le reconnaissent dans la rue, se retournent sur son passage, et dans sa tête, il se dit : ’Ils me trouvent beau.’ C’est du moins l’impression qu’il ressent. Arrivé de Bordeaux avec ses complexes physiques, cette reconnaissance agit comme une drogue , la première de sa vie.
« J’ai découvert une drogue. La première. Il y en aura d’autres. Je passe à la télé, je marche dans la rue, je remonte les Champs-Élysées très lentement pour vérifier que je suis connu. Ma célèbre coiffure au vent », se souvient-il.
Celui serait un coeur à prendre évoque cet épisode comme un vrai choc psychologique, et même un traumatisme .
« Je vous assure que ce n’était pas prévu. Alors, cette reconnaissance, cette célébrité, cet « accident », j’en faisais une affaire physique. J’avais remarqué qu’on se retournait sur les jolies filles et les jolis garçons, et tout d’un coup, on se retourne sur moi dans la rue ! J’adore ça », a-t-il indiqué.
Une confession touchante qui révèle un aspect méconnu de sa personnalité.
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