Renaud et Cerise se sont unis pour le meilleur et pour le pire le 4 mai dernier à Paris. Mais l’absence de Lolita aurait jeté un froid.
Renaud fait une nouvelle fois la couv de « Paris Match », qui met en doute son grand retour sur scène, tant espéré par « le public et par ses amis chanteurs ».
’Ses amis chanteurs comme le public, tous rêvent de le voir revenir. Mais lui reste enfermé dans son spleen’, rapporte l’hebdomadaire dans son édition du 20 mai, qui faisait état au printemps dernier de la descente aux enfers du chanteur.
’De Bruel à Grand Corps Malade en passant par Doc Gynéco, on le célèbre. Depuis « ?Hexagone ? », ses chansons sont devenues des classiques, quand ce ne sont pas des hymnes. Elles font désormais partie du patrimoine national. Renaud n’est plus seulement l’ami de Titi, le pote à Manu, mais aussi l’égal de Brel. Il n’est plus simplement le voisin de palier de Gérard Lambert, mais le voisin de postérité de Léo Ferré’, poursuit la publication.
Mais même s’il participe de temps en temps à des projets, Renaud n’est pas « prêt pas de revenir ».
’Il est prostré. Quelque part. Loin de Paname. A L’Isle-sur-la-Sorgue », précise « Paris Match ».
« Il avait espéré que l’enfance allait durer plus longtemps que l’enfance ? : mais non. Il voulait changer le monde, et le monde n’a fait que vieillir », regrette le journaliste.
« L’homme que le pays regrette et tente à toute force de rappeler sur scène ou sur disque n’est ni Bonaparte, ni de Gaulle, ni Sarkozy mais un freluquet à santiags, un titi à Perfecto, un loulou mitterrandien’, (...) aujourd’hui détruit par les chagrins d’amour à répétition ».
Ces articles devraient vous intéresser :